Le Gouvernement a mis en consultation du public, le 21 décembre, les textes renforçant le cadre juridique des Zones de Non Traitement (ZNT) pour la protection des riverains, suite à la décision du Conseil d’État de juillet dernier.Pour la FNSEA et son réseau, ces textes vont se traduire par une complexité qui au final, pèsera une nouvelle fois, sur les seuls agriculteurs lors de la mise en œuvre des traitements. En outre, la question de la compensation est à peine effleurée et limitée aux situations d’impasses.Pour faire entendre nos demandes d’évolution des propositions du Gouvernement, nous vous incitons à participer et à faire participer en nombre à la consultation du public avant le 11 janvier prochain. Nous comptons sur une forte mobilisation de notre réseau pour répondre à cette enquête !
Pour consulter l'intégralité de cet article, vous devez vous connecter avec vos identifiants en haut à droite de la page.Si vous souhaitez nous rejoindre, envoyez-nous un message en cliquant sur CONTACT ou bien appelez-nous au 05 65 23 22 60 / 66.
Suite aux dégâts occasionnés par le gel du mois d’avril 2021, le Comité National de Gestion des Risques en Agriculture, lors de sa réunion du 29 septembre 2021, a émis un avis favorable sur la demande de reconnaissance « Calamités agricoles ».
La demande d’indemnisation est à effectuer par télédéclaration via l’outil informatique du Ministère de l’Agriculture « télécalam »
Vous trouverez ci-dessous le document relatif à cette séance sur : le retour du Congrès de l'AGPM à Tououse, intitulé "S'engager pour la durabilité du maïs français".
Au moment où s’ouvre la consultation du public, la FNSEA tient à rappeler que le pragmatisme doit l’emporter sur les positions dogmatiques : les distances ne sont en aucun cas une réponse à la nécessaire protection des riverain... Retrouvez ci-dessous le CP de la FNSEA
Retrouvez le 234ème numéro de Direct Légumes, l’hebdo des producteurs !
Après des débats difficiles sur la hausse de la RPD courant 2018, l’article de la loi de finances que nous contestions a été voté. Par ailleurs, l’arrêté de reclassification de substances actives a été publié fin décembre. Reste désormais à savoir quand le dispositif pourra être pleinement opérationnel. En termes de résultats, si nous n’avons pas été entendu sur la loi de finances, les corrections apportées à la reclassification des substances, pour rester dans le cadre européen, constituent malgré tout une petite victoire syndicale : la hausse de la RPD sera légèrement moins forte.
Aujourd’hui, la question des produits phytopharmaceutiques n’est envisagée que sous l’angle des interdictions, qui se multiplient et engendrent des impasses techniques et économiques. Les filières françaises sont mises en danger au profit de produits importés qui, eux, ne respectent pas nos exigences de production. Le Contrat de Solutions est une alternative constructive à cette absence de vision pour l’agriculture française. Avec 40 organisations partenaires, nous misons sur une démarche collective : c’est en proposant des solutions que nous parviendrons à répondre aux attentes des consommateurs, à préserver la planète et à assurer l’avenir de nos exploitations.
Vendredi 22 Juin, les 2 ministres ont bien affirmé que l’interdiction du glyphosate ne serait pas introduite dans le projet de loi EGA lors du débat en séance plénière au Sénat. Parallèlement, ils mettent la pression pour trouver les alternatives et les appliquer... au risque sinon d’inscrire l’interdiction dans une autre loi… tout en confirmant qu’il reste des impasses et qu’ils ne laisseront pas les agriculteurs seuls.
Le positionnement à la FNSEA est clair sur le glyphosate : pas d’interdiction dans la loi, les alternatives disponibles sont plus coûteuses pour les agriculteurs et doivent être accompagnées financièrement, des impasses demeurent qu’il importe de prendre pleinement en compte.
Il est un constat sans appel : l'agriculture française recule ! Volailles, porcs, fruits et légumes, ... les illustrations sont malheureusement nombreuses. La compétitivité de notre agriculture se dégrade et c'est notre souveraineté alimentaire qui en pâtit. Les orientations du gouvernement actuel, loin de proposer des réponses satisfaisantes, vont aggraver cette situation : on ne peut pas se satisfaire d'une exigence de "montée en gamme" de l'agriculture française, tout en ouvrant sans cesse de nouveaux quotas d'importation. Retrouvez dans cet article, une tribune des présidents FDSEA -JA et plusieurs infographies assez édifiantes !
COMPLEMENT POUR LES ADHERENTS
FIN DU BLOCAGE DU DEPOT PETROLIER DE TOULOUSE. La FNSEA et les JA ont accepté de lever les blocages après que les engagements du gouvernement ont été mis sur papier.
Le secrétaire général de la FNSEA Jérôme Despey a d'ailleurs souligné que ce n'était qu'une "suspension" des blocages. "Si dans les jours qui viennent nous n'avons pas de concrétisation par rapport à l'engagement du ministre de l'Agriculture, nous serons mobilisés sur toute forme d'action sur notre territoire", a-t-il insisté
Réponses à plusieurs questions selon le document provenant du site Agriculture et environnement :
Le gouvernement souhaite interdire les usages du glyphosate d’ici trois ans. Pourquoi une telle précipitation ?
La France peut-elle seule interdire le glyphosate alors que cette matière active vient d’être autorisée pour une période de cinq ans ?
Regain de compétitivité pour le blé tendre français sur le marché français pour l’alimentation animale et à destination de l’Union européenne
La Chambre d'Agriculture du Lot, en collaboration avec la FDCUMA du Lot, organise 2 demi-journées sur le thème de la récolte des fourrages en voie humide. Celles-ci auront lieux les 15 et 17 mai après-midi sur le secteur de Gorses, l'objectif est de comparer des itinéraires de récolte avec différents matériels innovants, les coûts des différentes chaînes de récolte ainsi que le l'intérêt des conservateurs seront abordés
Quatre Ministres, MM. Hulot, Travert et Mmes Buzyn et Vidal, étaient présents devant l’ensemble des parties prenantes pour présenter les décisions gouvernementales finales sur le plan d’actions sur les produits phytopharmaceutiques. Ils ont annoncé de nouveaux durcissements quand nous défendions du pragmatisme. Eric Thirouin a demandé solennellement une étude d'impact sur l'économie de la Ferme France des différentes mesures envisagées en matière de protection des cultures.
Appel a mobilisation ZONES DEFAVORISEES ! A l'attention de tous les adhérents du département ! Blocage des ronds poinds d'accès autoroute A20 sur le département du Lot. Début de l'action mardi 6 février 19h, sur 3 points du département : Cahors Sud - Montfaucon - Souillac.
Après plusieurs jours de mobilisations et de blocages à Montauban (avec le soutien appuyé de JA et FDSEA du Lot), à Toulouse... une délégation a été reçue par le Ministre de l'Agriculture pour lui faire entendre notre colère devant l'injustice du projet de carte des zones défavorisées aujourd'hui sur la table ! A l'issue d'une réunion qui s'est déroulée sous une tension vive, les représentants syndicaux d'Occitanie ont obtenu que leurs propositions soients prises en compte... mais le résultat ne sera présenté que le mercredi 7 février en fin de journée.
La mobilisation régionale à l'appel de Jeunes Agriculteurs et de la FRSEA Occitanie a drainé 1200 manifestants dans les rues de Montauban ce 24 janvier. Le mot d'ordre était simple : défendre la reconnaissance de nos zones défavorisées ! Les syndicats ont laissé éclater leur colère devant la Préfecture du Tarn-et-Garonne pendant qu'une délégation était reçue par le Directeur de la DRAAF Occitanie et le Préfet. Les pouvoirs publics ont dit vouloir résoudre l'exclusion de nombreuses communes du projet de carte. La vigilance est de mise avant une réunion ce vendredi 26 janvier à Paris qui pourrait concrétiser des avancées...
Le règlement délégué simplifiant les règles de verdissement de la PAC a été adopté en juin dernier par le Parlement européen. Ce règlement, applicable au 1er janvier 2018, interdit l’utilisation des produits phytosanitaires sur les surfaces d’intérêt écologique (SIE). La Fédération des producteurs d'Olégineux et Protéagineux (FOP) a largement dénoncé les conséquences désastreuses de cette décision pour les producteurs. C'est en effet une remise en cause très dommageable de pratiques favorables pour des cultures favorisant la diversité des assolements et pour permettre une source d’approvisionnement en protéines locales pour l’élevage européen.
Nicolas Hulot, Ministre de la Transition écologique et solidaire, a déclaré hier en marge d'un déplacement en Bretagne qu'au nom de la France, il "votera contre le renouvellement de l'autorisation du glyphosate" début octobre. Les organisations syndicales françaises sont mobilisées sur le dossier. Les filières grandes cultures, inquiètes des conséquences d'une telle interdiction, ont adressé un courrier au Président de la République, au Premier ministre, au ministre de l'Agriculture et au ministre de la Transition écologique.
Christiane LAMBERT, pour la FNSEA, a récemment interpellé le Ministre de l'Agriculture sur le calendrier de paiement des aides PAC. Elle a dénoncé la situation de retard inacceptable depuis la mise en place de la "nouvelle" PAC et la campagne 2015. Cette dernière n'étant toujours pas clôturée à ce jour car plusieurs mesures ne sont pas soldées (MAEC, Bio,...).
La réponse du Ministre présente des éléments de calendrier - modifiés une énième fois ! - parmi lesquels figurent des dates pour le paiement des dossiers PAC 2016 dans les prochaines semaines.
Il est très commun d'entendre dire du maïs que c'est un gros consommateur d'eau... mais en êtes-vous vraiment sûr ? La culture du maïs est souvent stigmatisée par les écologistes, l'associant systématiquement à l'irrigation et donc à un usage massif d'eau.
Découvrez une nouvelle vidéo de la chaîne "TREVE DE BALIVERNES" qui démonte certaines idées reçues à ce sujet.
Le ministère de l’Agriculture et la Direction générale des Douanes ont transmis à leurs services déconcentrés une instruction technique fournissant les modalités d’application du dispositif d’achat de vendange pour les viticulteurs qui ont été impactés par les aléas climatiques en 2016. Les conditions sont définies ci-après :
Non, contrairement à une idée reçue, l'eau n'est PAS rare dans le Lot. A-t-on déjà oublié les précipitations de ce début d'année ? La réalité, c'est que quelques cours d'eau connaissent, depuis des années, un étiage précoce et prononcé. Certes, l'été est logiquement la période de demande pour l'irrigation des cultures sur notre territoire : semences, melons, maïs, maraîchage, noyers,… Non, contrairement à une autre idée reçue, l'irrigation n'assèche PAS les cours d'eau. A-t-on déjà oublié qu'en 2014 plusieurs cours d'eau étaient déjà à sec alors que strictement aucun pompage d'irrigation n'avait démarré ?
Suite aux réunions du groupe de travail du Conseil spécialisé Vin FranceAgriMer, la décision Investissement pour 2017 a été votée au CS de juin, les modifications principales étant les suivantes :
Dans le contexte du Brexit, FranceAgriMer a rédigé une note (voir plus bas) sur l’état des lieux du commerce agro-alimentaire entre la France, l’Union Européenne et le Royaume-Uni. Il ressort que le poste vins et boissons alcoolisées constitue le premier poste de la balance commerciale positive agro-alimentaire des échanges entre la France et le Royaume Uni (exportations représentant 1,2 Mds€).
FranceAgriMer a réalisé une étude (voir plus bas) sur la position de la France et de ses principaux concurrents dans les importations allemandes, britanniques, américaines et chinoises, soit les principaux marchés importateurs dans le monde.
Le 28 juin a été ouverte la téléprocédure Vitirestructuration, qui permettra aux viticulteurs de déposer leurs demandes annuelles d'aide à la restructuration du vignoble et leurs déclarations d'arrachage préalable, et ce avec les mêmes codes d'accès que ceux de Vitiplantation (pour rappel, la téléprocédure pour les demandes d’autorisations de plantations).
Courant 2014, le Ministère de l'Ecologie a engagé, par anticipation, une révision de la zone vulnérable datant de 2012. L'Etat français souhaitant ainsi conforter ses positions vis-à-vis d'un contentieux avec les autorités européennes sur l'application de la Directive Nitrates dans l'hexagone. La mobilisation FDSEA-JA, avec l'appui de la Chambre d'Agriculture, a permis de réduire de plus de 40% l'extension de la zone vulnérable. Dans le Lot, ce sont toutefois trois secteurs qui sont touchés, Quercy Blanc, Borrèze et Bonnette.
Les DDT doivent adresser un courrier aux agriculteurs engagés dans une MAEC dont le cahier des charges comprend une exigence de respect d'Indice de Fréquence de Traitements pour leur notifier cet indice. Les agriculteurs qui le souhaitent peuvent se désengager du contrat MAEC qu’ils ont souscrit lors de la déclaration PAC 2015.
En savoir plus