Depuis plusieurs mois maintenant, la présence du loup sur notre territoire est confirmée. Les attaques sévissent principalement sur le Causse central avec plus de 200 brebis tuées. Le travail syndical réalisé par la FDSEA, Le Syndicat d’élevage Ovins et les Jeunes Agriculteurs du Lot a permis la mise en place de tirs de défense simple dans l’objectif de protéger les troupeaux des éleveurs Lotois. Fin septembre...
L’organisation mondiale de santé animale (OMSA – ex Office internationale des épizooties-OIE) a tiré le 6 septembre le signal d’alarme sur la propagation de la peste porcine africaine (PPA) en Europe de l’Est. « Elle progresse à un rythme alarmant », a indiqué le chef du département scientifique de l’OMSA, Gregorio Torres. Depuis le début de l'année 2022, 285 foyers PPA sont apparus dans des élevages européens, contaminant près de 71 000 porcs.
L’équilibre économique de nombreuses exploitations agricoles est significativement fragilisé par les conséquences de la crise de la COVID-19. Dans ce contexte dégradé, la filière porcine fait face à une hausse des coûts de production combinée à une baisse des cours depuis septembre 2021, dégradant fortement la trésorerie des entreprises de la filière, aboutissant à une situation critique pour de nombreux éleveurs de porcs début 2022.
En lien avec la loi EGALIM et l'élaboration des contrats, retrouvez ici les indicateurs de marché viande bovine de la semaine.
Les indicateurs contiennent désormais les indicateurs de coûts de production pour 4 catégories élaborés d'après la méthode interprofessionnelle, mis à jour tous les semestres.
Face à la flambée des prix des matières premières, l’indicateur de coût de production de référence en viande bovine, calculé selon la méthode validée par accord interprofessionnel, subit une hausse de 4,6% lors du second semestre 2021. Parce ce que ce coût de production doit désormais obligatoirement constituer le socle de toute négociation entre les éleveurs ou leurs organisations de producteurs et leurs acheteurs, en application de la loi EGALIM 2, les prix de marché devraient augmenter très significativement au cours des prochaines semaines.
CRISE PORCINE Un plan d’urgence nécessaire et salué mais OP, GMS et Industriels doivent, maintenant, prendre leurs responsabilités
• Depuis bientôt 2 ans, les crises COVID et la FPA impactent la filière porcine (déséquilibre du marché intérieur européen - perturbations des Abattoirs - baisse de la demande et limites à l’export) et dès l’été 2021, la flambée du prix des matières premières alimentaires et de toutes les fournitures et charges dans un marché atone provoque une très grave crise de trésorerie...
Invité par la FDSEA et les JA, Patrick BENEZIT, éleveur Cantalien, responsable FNSEA et vice président de la Fédération Nationale Bovine est venu l’expliquer aux éleveurs bovins Lotois la véritable révolution que représente la loi Egalim 2. Réclamée depuis plus de dix ans par le syndicalisme agricole, le gouvernement l’a enfin votée.
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Après plusieurs réunions avec les fédérations d'éleveurs et autres parties prenantes de la filière volaille, le ministère de l'Agriculture a dévoilé le 8 juillet 2021 sa feuille de route sanitaire qui vise à anticiper et éviter un nouvel épisode de grippe aviaire l'hiver prochain. Il propose donc cinq mesures phares, qui seront mises en place pour certaines dès septembre 2021.
Dans son plan de filière, Interbev s’est fixé l’objectif de contractualiser 30% de la production de gros bovins d’ici 5 ans en prenant en compte dès à présent des indicateurs de coûts de production. La filière viande bovine ne fait pas l’objet d’une contractualisation écrite obligatoire. Toutefois, les contrats doivent comporter un certain nombre de clauses prévues par la loiEGAlim.
Veuillez trouver en pièces jointes les dernières informations de conjoncture en date, reçues en Septembre 2019 et listées ci-dessous.
Le bien-être des animaux est un dossier important pour la profession porcine qui s’est engagée, en concertation avec le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, dans une stratégie ambitieuse en la matière pour répondre aux fortes attentes sociétales.
Les éleveurs sont les premiers acteurs du bien-être des porcs en élevage.
Le réseau de Coop de France, la Fédération Nationale Porcine, l’Interprofession nationale porcine, la Chambre d’Agriculture de Bretagne, l’Institut du Porc et les réseaux vétérinaires coconstruisent depuis plusieurs mois un ensemble de fiches conseils synthétiques et pédagogiques destinées aux éleveurs de porcs, pour leur apporter des outils globaux d’appréhension du bien-être de leurs animaux au quotidien.
A l’heure ou l’espace médiatique est saturé de messages militants issus de la sphère des abolitionnistes, voici un site intéressant, qui a pour ambition de construire une information sourcée sur l’alimentation omnivore...
En cette période de canicule, le ministre Didier Guillaume a décidé de restreindre les transports d'animaux sur le territoire national. Un arrêté ministériel est publié au JORF demande aux Préfets d'interdire les déplacements entre 13h et 18h pour les départements classés en vigilance orange et plus. Des dérogations seront possibles (véhicules dotés d'aménagements spécifiques, animaux en souffrance dans leur bâtiment). Retrouver l'arrêté du 22 Juillet dans cet article
Nous ne sommes pas, sur le principe, opposés aux échanges commerciaux ... MAIS n’importons pas l’agriculture que nous ne voulons pas !
Mercredi 3 Juillet, une délégation des Jeunes Agriculteurs et de la FDSEA a rencontré le Préfet pour lui expliquer notre profond désaccord sur cet accord U.E. - MERCOSUR. Il fait peser une lourde menace sur les éleveurs de nos territoires. Cette audience a été suivie d'un tour au marché pour échanger avec les consommateurs car sur ce sujet, ils sont concernés au premier chef sur la qualité de ce qu'ils retrouveront dans leurs assiettes dans les années à venir.
Sur le fonds, nous dénonçons fortement l'hypocrisie actuelle qui consiste à poser des injonctions permanentes sur du mieux disant en qualité pour les agriculteurs français, et en même temps à signer des accords visant l'importation de produits ne respectant pas la réglementation européenne de base !
Pour le CETA, accord commercial entre UE et Canada, en vigueur mais en cours de ratification par les parlements des pays européens, nous avons la même position.
En réaction aux rumeurs de plus en plus pressantes d’un accord avec le Mercosur, le ministre de l'Agriculture, Didier Guillaume a souligné sur France info, que « les accords de libre-échange ne peuvent pas se faire au détriment des standards européens ». Pourtant ce sujet sera à l’ordre du jour du conseil des affaires étrangères du 27 mai avec une présentation des « avancées » des discussions.
Après des débats difficiles sur la hausse de la RPD courant 2018, l’article de la loi de finances que nous contestions a été voté. Par ailleurs, l’arrêté de reclassification de substances actives a été publié fin décembre. Reste désormais à savoir quand le dispositif pourra être pleinement opérationnel. En termes de résultats, si nous n’avons pas été entendu sur la loi de finances, les corrections apportées à la reclassification des substances, pour rester dans le cadre européen, constituent malgré tout une petite victoire syndicale : la hausse de la RPD sera légèrement moins forte.
Les semaines passent et les mouvements anti-viande continuent d'occuper les réseaux sociaux et nos télés. Jusqu'à un cas dans le Lot, fin octobre, avec une vidéo d'un groupuscule quasi-inconnu dans un élevage de porcs. Nous nous trouvons souvent démunis face à ce type de "buzz" qui prend souvent des proportions aberrantes. Aussi, nous vous proposons quelques arguments pour remettre les choses à leur place, ainsi qu'une vidéo sympa pour communiquer positivement !
Notre métier fait régulièrement l'objet d'attaques de la part de militants de la "cause animale". Leur objectif est de choquer l'opinion publique avec des vidéos provoquant l'émotion du grand public, détournées du contexte et souvent manipulatrices. Ces initiatives de groupuscules plus ou moins établis ont tendance à se multiplier depuis quelques mois. Aussi, il est important que les éleveurs sachent quelles sont les mesures à prendre pour éviter l'intrusion de personnes extérieures dans les élevages, et le cas échéant quelles sont les attitudes à adopter si un éleveur se trouve confronté à cette situation.
Le bien-être animal constitue une forte attente sociétale. Aussi, la profession porcine, avec l’ensemble des autres filières animales, s’est engagée aux côtés du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, du monde professionnel et du monde associatif dans une stratégie ambitieuse pour le bien-être des animaux en France. La responsabilisation des acteurs des filières d’élevage à tous les niveaux est un des axes forts de cette stratégie globale nationale.
Il est un constat sans appel : l'agriculture française recule ! Volailles, porcs, fruits et légumes, ... les illustrations sont malheureusement nombreuses. La compétitivité de notre agriculture se dégrade et c'est notre souveraineté alimentaire qui en pâtit. Les orientations du gouvernement actuel, loin de proposer des réponses satisfaisantes, vont aggraver cette situation : on ne peut pas se satisfaire d'une exigence de "montée en gamme" de l'agriculture française, tout en ouvrant sans cesse de nouveaux quotas d'importation. Retrouvez dans cet article, une tribune des présidents FDSEA -JA et plusieurs infographies assez édifiantes !
COMPLEMENT POUR LES ADHERENTS
FIN DU BLOCAGE DU DEPOT PETROLIER DE TOULOUSE. La FNSEA et les JA ont accepté de lever les blocages après que les engagements du gouvernement ont été mis sur papier.
Le secrétaire général de la FNSEA Jérôme Despey a d'ailleurs souligné que ce n'était qu'une "suspension" des blocages. "Si dans les jours qui viennent nous n'avons pas de concrétisation par rapport à l'engagement du ministre de l'Agriculture, nous serons mobilisés sur toute forme d'action sur notre territoire", a-t-il insisté
Ces documents suivant précisent qu’une étude relative à la circulation des virus IAFP en élevages de palmipèdes est mise en place entre le 1er juin au 15 novembre 2018, dans les conditions définies par convention cadre quadripartite entre la DGAL, l’ANSES, l’ENVT et le CIFOG (convention en cours de signature par les parties). Cette étude prévoit un dépistage avant tout mouvement de PAG d’un site d’exploitation vers un autre, par prélèvements sur 20 animaux par lot, dans les 10 jours précédent le mouvement, dans les mêmes conditions que lors de la période hivernale.
Vu le contexte d'attaques répétées de chiens sur les troupeaux de brebis, la DDCSPP du Lot nous à transmis un guide élaboré dans le TARN (avec le concours de la DRAAF).
Ce document fait le point sur la réglementation et les procédures à suivre pour lutter contre ces problèmes.
Voici un extrait
La traditionnelle hausse du prix du porc de debut d'année a été précoce, mais le retournement des cotations européennes à la mi-mars traduit les nombreuses incertitudes sur les niveaux d'offres et de demandes. la demande européenne semble peu dynamique. Et aprés une année 2017 de tassement de l'offre, 2018 verra certainement la production Européenne augmenter. Les évolutions du commerce international sont donc à surveiller de près.
Des conséquences dramatiques pour certaines exploitations ! Voici des témoignages d'éleveurs et d'élus évoquant la problématique du loup. Ce reportage a été réalisé par la FNSEA. Voici également une video choc créée par le collectif L113. Des brebis éventrées et agonisantes, mais aussi des veaux, des ânes, des chevaux...les éleveurs denoncent, par la méthode employée par L214, la souffrance animale qui les désespère.
L'année 2017 a été excellente pour les éleveurs de porc européen avec des prix des aliments stables et un prix du porc en forte hausse au premier semestre. Apès 5 mois de baisse, le prix du porc en Europe a rebondi en février sous l'impulsion d'un marché allemand déficitaire. La revalorisation est franche au nord, plus mesurée au sud. La situation est mitigée pour l'industrie de l'aval. L'érosion des débouchés sur le marché interieur continue, autant en viande fraiche qu'en charcuterie.
La 74ème Assemblée Générale de la FNPL s’est terminée le 15 mars à Vannes (Morbihan), en présence du ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Stéphane Travert. L’occasion pour les éleveurs d’interpeler le ministre sur leurs inquiétudes, notamment au sujet des accords de libre-échange, mais aussi sur leur espoir de retrouver de la valeur.
Vous trouverez ci-dessous le bulletin économique de la filière bovine pour le mois de février 2018.
Le tableau de bord de la Fédération Bovine disponible ci-après est un outil qui vise à : - Apporter une information synthétique sur l’activité de la FNB - Apporter une information simple à nos adhérents - Apporter des informations économiques claires - Mettre en valeur l’activité de notre réseau ou de nos partenaires
Appel a mobilisation ZONES DEFAVORISEES ! A l'attention de tous les adhérents du département ! Blocage des ronds poinds d'accès autoroute A20 sur le département du Lot. Début de l'action mardi 6 février 19h, sur 3 points du département : Cahors Sud - Montfaucon - Souillac.
Après plusieurs jours de mobilisations et de blocages à Montauban (avec le soutien appuyé de JA et FDSEA du Lot), à Toulouse... une délégation a été reçue par le Ministre de l'Agriculture pour lui faire entendre notre colère devant l'injustice du projet de carte des zones défavorisées aujourd'hui sur la table ! A l'issue d'une réunion qui s'est déroulée sous une tension vive, les représentants syndicaux d'Occitanie ont obtenu que leurs propositions soients prises en compte... mais le résultat ne sera présenté que le mercredi 7 février en fin de journée.
La mobilisation régionale à l'appel de Jeunes Agriculteurs et de la FRSEA Occitanie a drainé 1200 manifestants dans les rues de Montauban ce 24 janvier. Le mot d'ordre était simple : défendre la reconnaissance de nos zones défavorisées ! Les syndicats ont laissé éclater leur colère devant la Préfecture du Tarn-et-Garonne pendant qu'une délégation était reçue par le Directeur de la DRAAF Occitanie et le Préfet. Les pouvoirs publics ont dit vouloir résoudre l'exclusion de nombreuses communes du projet de carte. La vigilance est de mise avant une réunion ce vendredi 26 janvier à Paris qui pourrait concrétiser des avancées...
La FRSEA Occitanie a organisé une réunion régionale porcine à Planioles, avec la participation du vice-président de la Fédération Nationale Porcine, éleveur porcin dans le Morbihan François VALY. A l'issue de cette rencontre, une délégation d'éleveurs s'est rendue dans une grande surface à Capdenac pour un contrôle de l'étiquetage de l'origine de la viande de porc. Dans le rayon libre service charcuterie, plusieurs constats alarmants ont pu être dressés.
La FRSEA Occitanie a organisé une réunion régionale porcine dans le Lot, avec la participation de la Fédération Nationale Porcine. En deux temps, les éleveurs porcins ont fait le point sur la difficile conjoncture et les dossiers syndicaux avant d'échanger avec un panel d'opérateurs de la région sur l'innovation, la qualité et la communication.
Les annonces de prix du lait faites pour le mois d’octobre par les entreprises privées Lactalis (Lactel, Président , …)et Savencia (le Rustique, St-môret, …) sont une nouvelle provocation pour les producteurs. Alors que les producteurs de lait viennent de subir deux années de crises et que leurs trésoreries sont au plus mal, ces deux entreprises osent baisser, de façon unilatérale, le prix du lait payé aux producteurs en annonçant un prix de 320-325€ /1000L, alors que l’application des indicateurs contractuels de détermination du prix du lait conduisent normalement à un prix autour de 340€-350€ /1000L (prix de base payé en 38 gr de Matière Grasse et 32 gr de Matière Protéique).
Comment mieux partager les marges entre la grande distribution et les éleveurs ? Frédéric Blanchonnet est un éleveur au savoir reconnu. En Auvergne, il fait partie de ceux qui ont négocié un accord avec la grande distribution. Quelques enseignes s'engagent désormais à payer un prix qui couvre au moins les coûts de production pour des animaux sélectionnés et uniquement des races à viande. Pour expliquer cette démarche, les éleveurs vont régulièrement à la rencontre des consommateurs.
Découvrez, chaque jour, un témoignage d'éleveurs qui parlent de son métier, de sa passion et son engagement dans la démarche Eleveur et engagé, initiée par la Fédération nationale bovine. Justement c'est quoi cette démarche ? Elle se résume en quelques points :
En ce milieu d'été, les media brodent aisément sur le scandale des oeufs contaminés au Fipronil, un insecticide interdit en élevage. Malheureusement, les messages sont brouillés. Il est nécessaire de rappeler que ce "scandale alimentaire" est avant tout une fraude. Une enquête judiciaire est en cours. Les victimes directes sont des élevages et des entreprises agro-alimentaires. Indirectement, toute la filière française en subit les conséquences. Dur à avaler pour les producteurs d'oeufs français, alors qu'aucun cas de contamination ne concerne les élevages de notre pays. Alors, consommez des oeufs pondus en France. Ci-après, retrouvez l'essentiel des infos sur ce dossier.
Sodiaal a annoncé le 12 juillet dernier son prix moyen de juillet à 330 €/1000 l. Et Lactalis affiche, quant à lui, 340 € en juillet, mais ce prix est en trompe l’œil car il s’agît d’un prix à 41 g de MG et 33 g de MP soit un équivalent de l’ordre de 326 € à 38 g de MG et 32 g de MP. Le bureau de la Section Laitière du Lot présidée par Stéphane PONS a souhaité réagir à ces annonces innaceptables.
La filière ovine, sous l'égide de la Fédération Nationale Ovine et dans le cadre d'Inn'Ovin, a réalisé de nombreuses vidéos traitant du métier d'éleveur, des problématiques sanitaires ou encore de l'installataion transmission. Un mine d'informations pratiques et ludiques sous forme de clips vidéos.
Depuis quelques temps des individus d’associations pour la protection des animaux pénètrent dans la plus grande illégalité dans des exploitations agricoles. Ils y prennent des photos et des vidéos d’animaux pour dénoncer les pratiques d’élevage.
Suite à la réunion qui s’est tenue le 16 juin dernier entre les enseignes de la distribution et la FNPL, la Fédération du Commerce et de la Distribution (FCD), LIDL et système U ont communiqué en appellant à la transparence via l’application de la loi Sapin 2 pour les MDD. (communiqués-dessous). A cette condition, les hausses demandées par les entreprises seront examinées dans la mesure où les entreprises laitières s’engagent à reverser l’intégralité de la hausse aux producteurs.
Suite au mot d’ordre national les éleveurs ont réalisé des actions syndicales auprès des coopératives laitières. Parallèlement la FNPL a entrepris des démarches auprès de la distribution et du Ministre de l’Agriculture. Ci-contre, Thierry Roquefeuil à la sortie de son entretien avec le Ministre.
A l'occasion des Rencontres MADE in VIANDE, la filière élevage et viande ouvre ses portes au public dans toute la France du 17 au 21 mai 2017. Un grand évènement festif et inédit où les femmes et les hommes de cette filière recoivent sur leurs lieux de travail afin de faire partager leurs métiers, leurs quotidiens et leurs valeurs.
Christiane LAMBERT, pour la FNSEA, a récemment interpellé le Ministre de l'Agriculture sur le calendrier de paiement des aides PAC. Elle a dénoncé la situation de retard inacceptable depuis la mise en place de la "nouvelle" PAC et la campagne 2015. Cette dernière n'étant toujours pas clôturée à ce jour car plusieurs mesures ne sont pas soldées (MAEC, Bio,...).
La réponse du Ministre présente des éléments de calendrier - modifiés une énième fois ! - parmi lesquels figurent des dates pour le paiement des dossiers PAC 2016 dans les prochaines semaines.
Très attendue par les éleveurs et producteurs de palmipèdes gras, la procédure pour obtenir le solde de l'indemnisation du vide sanitaire de l'an dernier est enfin prête. Le dispositif a été entériné dans un règlement européen. Tous ceux qui ont subi une perte, impactés par l'incapacité de production au printemps dernier, doivent remplir un dossier de demande, qu'ils aient déjà perçu une avance (c'est le cas le plus fréquent) ou pas. Les dossiers sont à retourner auprès de la DDT avant le 14 avril. N'hésitez pas à contacter la FDSEA ou les JA si vous rencontrez une difficulté dans cette démarche.
L’indicateur trimestriel de mix-produit (F1) du second trimestre s’établit à : +12,3 % Cet indicateur résulte des évolutions suivantes : - 31,8 % de hausse des prix des produits industriels du T1 2017 par rapport à ceux du T1 2016 - 29,8 % de hausse des prix des fromages export sur la même période
Vous trouverez ci-contre un billet d’humeur de la Fédération Nationale Bovine intitulé : « Un seul livre généalogique par race, une vision collective indispensable» --> un-seul-livre-genealogique-par-race-une-vision-collective-indispensable.pdf
Le CNIEL a communiqué les indices de tendance relatifs à l’évolution du prix du lait pour le mois de mars. Les indicateurs communiqués par le CNIEL ne reflètent qu’une partie des marchés et ne prennent pas en compte l’évolution sur le marché intérieur. - L’indicateur trimestriel F1 du premier trimestre s’établit à : +8,2 % - La valorisation Beurre Poudre sur le dernier trimestre 2016 s’établit à 279,30 €/1000 l.
La période d'éligibilité court du 1er janvier 2017 au 30 avril 2017 ( et non jusqu'au 28 février comme prévu initialement). Pour les animaux abattus en France métropolitaine : la date d'abattage de l'animal éligible fera foi. Pour les animaux exportés, la date de vente de l'animal par l'éleveur éligible fera foi. Toutefois, les animaux exportés après le 15 juin ne seront pas éligibles.
En marge de l'indemnisation des pertes liées au vide sanitaire (fin 2015 - début 2016) pour les palmipèdes, le dispositif attendu pour les pertes des producteurs d'autres volailles est lancé. Les demandes doivent être adressées à la DDT avant le 17 mars prochain. Le soutien vise à apporter une indemnisation aux élevages qui ont été impactés par les mesures de police sanitaire mises en place dans le sud-ouest : interdiction de commercialisation de volailles vivantes en dehors de la zone de restriction et allongement des durées de vide sanitaire au sein des zones réglementées.
La CFA, Association spécialisée du réseau des FDSEA dédiée à l'aviculture, dresse un point d'information de l'évolution de la grippe aviaire pour les présidents des sections départementales FDSEA. En voici les principaux éléments, portant sur les modalités d'indemnisation (2016), sur les mouvements d'animaux concernant les zones touchées aujourd'hui, et sur la situation sanitaire. L'épizootie d'influenza aviaire sévit toujours dans notre pays mais aussi en Europe avec encore de nouveaux cas en faune sauvage et en élevage.
La situation de l'épizootie d'influenza aviaire sévit depuis novembre dernier dans notre pays, avec une évolution préoccupante et surtout des conséquences dramatiques pour les éleveurs dans les département touchés. Ci-joint un relevé de conclusions de la réunion avec le ministre de l'Agriculture de jeudi dernier, 19 janvier 2017. A cette occasion, la profession a pris connaissance des positions du Ministère sur le volet indemnisation pour le solde de l'épisode 2016 et les conditions de prise en charge de la crise actuelle. Par ailleurs, les échanges ont porté sur l'évolution des règles de biosécurité, afin de tirer les enseignements de cette seconde épidémie de grippe aviaire qui met les éleveurs en très grande difficulté dans le sud-ouest.
Suite à la pression syndicale et à la mise en place du pacte de consolidation et de refinancement des exploitations agricoles, une aide de trésorerie aux producteurs de lait de vache a été mise place. Une première procédure simplifiée, sans démarche particulière, a permis le versement de cette aide de 1000 €uros (avec transparence GAEC) à 156 producteurs lotois. Les producteurs non bénéficiaires de la première procédure simplifiée reçoivent actuellement un imprimé France-Agrimer « soutien à la Trésorerie » à remplir et à retourner à la DDT. Quelques conseils pour compléter ce formulaire :
Suite aux violentes et régulières attaques des "anti-viande", l'interprofession a décidé de réagir pour montrer la rigueur et la qualité des process de la chaîne d'abattage, maillon indispensable de la production de viande. Un travail de plusieurs mois a permis la réalisation d’une vidéo intitulée « De l’animal à la viande ».
Le FMSE est un fonds de mutualisation qui a pour objet l'indemnisation des agriculteurs lorsqu'ils subissent des pertes liées à des incidents sanitaires et environnementaux. Depuis 2013, l'adhésion à un fonds de mutualisation est obligatoire. LE FMSE a été créé et est administré par des agriculteurs. Le FMSE a une section commune à tous les agriculteurs et des sections spécialisées, la section avicole a été créée en décembre dernier sous l'impulsion de la CFA - Confédération Française de l'Aviculture.
La France a décidé de mettre en place une aide aux jeunes bovins pour inciter la sortie de jeunes bovins mâles plus légers et ainsi enclencher une dynamique de réduction de la production de viande sur le marché. La période d'éligibilité court du 1er janvier 2017 au 28 février 2017. Pour les animaux abattus en France métropolitaine : la date d'abattage de l'animal éligible fera foi. Pour les animaux exportés, la date de vente de l'animal par l'éleveur éligible fera foi. Toutefois, les animaux exportés après le 15 avril ne seront pas éligibles. Les éleveurs pourront déposer une demande d’aide à partir du 1er mars 2017 et jusqu’au 31 mars 2017 uniquement.
Dans le cadre du pacte de consolidation et de refinancement des exploitations agricoles, une aide de trésorerie aux producteurs de lait de vache est mise en place par le gouvernement. Cette aide sera forfaitaire par exploitation et tiendra compte de la transparence pour les GAEC.
Le décret n° 2016-1661 du 5 décembre 2016 et l'arrêté du 7 décembre 2016 relèvent le seuil de l'autorisation avec étude d'impact et enquête publique à 800 animaux pour les élevages de bovins destinés à l’engraissement et à 400 animaux pour les élevages de vaches laitières. Ils introduisent un régime d'enregistrement (autorisation simplifiée) pour les élevages de bovins compris entre 401 et 800 animaux et les élevages de vaches laitières compris entre 151 et 400 animaux.
Les élements de conjoncture Veau d’octobre 2016 réalisée par la FNB, la conjoncture de juillet et celle de janvier à septembre 2016 réalisées par le GEB de l’IDELE sont disponibles via le lien suivant : https://www.dropbox.com/sh/3yw1nzyddjzlaub/AAB06DZrR6lyVk06ll45Z-9ta?dl=0
A l'initiative de la FDSEA et des JA, la cellule de crise composée de la Chambre d'Agriculture, des organisations de producteurs, des coopératives et du syndicat ovin s'est réunie le mercredi 21 septembre à Labastide Murat. Il a été décidé de communiquer des messages communs au plan départemental, en particulier sur les "solutions" à prendre en compte pour surmonter le déficit fourrager constaté sur une majorité d'élevage du département.
A la suite de longs mois de discussions et de mobilisations, CARREFOUR France, en la personne de son PDG Georges Plassat, s’est engagé à mettre en place le coeur de gamme. Répondant à un appel à mobilisation national, la FRSEA et la FRB ont mené une action commune au Carrefour de Lattes, dans l'Hérault.
A l'issue d'une semaine de mobilisation intense, élargie à l'ensemble de l'hexagone - sur le site de Montauban pour les lotois - le syndicalisme a permis aux Organisations de Producteurs de signer un accord avec Lactalis sur l'évolution du prix du lait fin 2016. La fin d'une action, mais pas la fin de la mobilisation. La crise est toujours là, très sévère pour les exploitations laitières. Les éleveurs restent mobilisés.
A l'attention des producteurs, la Section Laitière organise des rencontres locales du 5 au 15 septembre sur l'ensemble des secteurs du département. Prix, mesures de gestion de crise, charte de valeurs, étiquetage des produits français... venez à la rencontre des responsables départementaux pour partager, échanger, interroger, débattre. Confrontés à une crise extrêmement grave, il faut poursuivre la mobilisation.
Les alertes incessantes de la FNPL auprès de la Commission européenne ont enfin permis de faire sortir le commissaire Hogan de sa posture du "marché libre". Même si ce n'est qu'un premier pas, avec un mécanisme volontaire, cette mesure d'aide à la réduction de production est importante sur le plan européen. En effet, son effet attendu d'érosion de la production européenne (qui s'est emballée) devrait produire son effet favorable sur les cours. Pour les producteurs français, loin de la situation de plusieurs pays du nord de l'Europe, cette mesure est à apprécier au cas par cas.
Lactalis : des manifestations « quand même un tout petit peu justifiées », pour le président de JA Dans une lettre ouverte au PDG de Lactalis Emmanuel Besnier, le président de Jeunes Agriculteurs, Jérémy Decerle, estime que « les producteurs de lait ont généralement autre chose à faire de leurs journées que de manifester et que s’ils en sont réduits à des actions de cette nature, c’est qu’ils sont arrivés à considérer que le dialogue « normal » était une impasse ».
L'étiquetage de l'origine du lait dans les produits laitiers et de la viande dans les plats préparés sera mis en place en France à partir du 1er janvier 2017, pour une durée de deux ans. Le décret entérinant ce dispositif a été publié le 21 août 2016. Les seuils d’incorporation de viande ou de lait, à partir desquels l’étiquetage est obligatoire, seront au maximum de 50% et déterminés par un arrêté en cours de discussion.
13 exigences pour passer la crise et construire l’avenir Les éleveurs spécialisés connaissent depuis plusieurs mois une crise structurelle inédite. Ils subissent de plein-fouet les effets collatéraux de la crise laitière et de l’afflux massif de vaches de réforme sur le marché. La vague de décapitalisations laitières prévue pour la fin de l’année pourrait mettre à l’arrêt plus d’un tiers des exploitations spécialisées en viande-bovine. Une issue inacceptable, tant elle remet en cause le modèle qualitatif de l’élevage allaitant, que tous, élus, citoyens & consommateurs exigent pour notre avenir. A cette heure cruciale pour la filière, Xavier BEULIN et Jean-Pierre FLEURY ont avancé, ce mercredi 24 août 2016, 13 exigences pour passer la crise et construire l’avenir.
La FNB et les sections bovines sont mobilisées pour la mise en place du « Cœur de gamme » allaitant, projet structurant pour la filière, garantie de qualité pour le consommateur et d’un prix couvrant les coûts de production pour l’éleveur. L’enseigne Système U s’est engagé à mettre en place le dispositif via son Conseil d’Administration, le 1er juin 2016. Par ailleurs, les sections bovines régionales et départementales sont engagées dans la mise en œuvre du dispositif à plusieurs niveaux (valorisation des animaux, discussion avec les enseignes, promotion du dispositif etc.).
Le Ministre de l'agriculture vient d'annoncer que le projet de décret notifié à la Commission européenne et aux autres Etats membres il y a trois mois, relatif à la mise en œuvre d'une expérimentation sur l'étiquetage de la viande et du lait utilisés en tant qu'ingrédient dans un produit transformé, était transmis au Conseil d'Etat. Le Commissaire européen Andriukaitis en charge de la santé aurait indiqué que rien ne s'opposait au lancement d'une telle expérimentation.
Christiane Lambert revient sur l'audition de la FNSEA par la Commission d'enquête parlementaire, présidée par Olivier Falorni, sur les conditions d'abattage des animaux de boucherie - voir la video -
La crise laitière s’installe et l’Europe a toujours des difficultés à prendre conscience de sa gravité. Si des mesures d’ordre techniques ont été mises en place, les instances européennes sont toujours dans un dogmatisme qui met à mal de trop nombreuses exploitations laitières.
La Vache Verte, c’est quoi ? Le mouvement Vache Verte est porté par la Confédération Nationale de l’Elevage (CNE) qui représente les éleveurs de ruminants français, avec l’appui technique des filières lait et viande. Ce mouvement vise à sensibiliser les citoyens au rôle fondamental de l’élevage des ruminants dans le maintien et l’équilibre environnemental, social et économique du territoire en France.
La FNB a lancé mercredi 1er juin 2016 un appel à mobilisation auprès des producteurs de viande bovine pour qu’ils s’impliquent davantage dans le redressement de leur filière, en s’investissant dans le développement d’un « cœur de gamme made in France » auprès des GMS et dans la conquête de la restauration hors domicile.
L’Assemblée Nationale étudiait en assemblée plénière le 8 juin au soir et le lendemain matin les articles portant sur l’agriculture au sein du projet de Loi Sapin 2. Suite aux débats des députés au sein de l’hémicycle, il en ressort un projet de texte amendé, qui va globalement dans le sens porté par la FNPL et son réseau depuis maintenant plusieurs mois.
Le ministère a publié le 17 mai 2016 l'arrêté relatif à la réduction du nombre de femelles éligibles et aux montants des aides aux bovins allaitants pour la campagne 2015 en France métropolitaine. L'arrêté confirme la mise en place d’une réduction linéaire de 3% sur le nombre de femelles éligibles.
A l'occasion du Congrès de la Fédération Nationale Ovine d'avril 2016, la FNO s'est saisi de la problématique de la rémunération des éleveurs. Olivier MEVEL, professeur à l'Université Loire Bretagne, consultant en stratégie alimentaire, a présenté le fruit de sa réflexion portant sur "Prix, contractualisation, consommation... le défi pour la production ovine !" Ces éléments de réflexion ont permis d'ouvrir une table-ronde sur le sujet.
Avec le concours du CIFOG et de l'ITAVI, les professionnels des filières avicoles ont travaillé à la rédaction de bonnes pratiques pour prévenir l'influenza aviaire. Des fiches pédagogiques sont disponibles pour les éleveurs, afin de présenter les principes de biosécurité. Des références précieuses même si la mise en oeuvre concrète sur les exploitations reste complexe.
L'épizootie d'Influenza aviaire apparue dans le sud-ouest fin 2015 a bouleversé les exploitations de volailles et palmipèdes lotoises, comme l'ensemble des acteurs des filières. Le plan drastique d'éradication du virus a imposé un dépeuplement - repeuplement aux élevages de palmipèdes qui fragilise énormément les éleveurs, gaveurs, transformateurs et tous les opérateurs. Avril 2016
Afin de repositionner la viande comme un produit du quotidien, source de diversité, de qualité et de plaisir pour tous, l’interprofession (INTERBEV) lance la démarche « La viande, 1 idée par jour ». « Par sa diversité, sa qualité et sa saveur, la viande répond aux attentes des consommateurs en leur permettant des repas faciles ou sophistiqués, seul ou à deux, pour tous les jours ou pour recevoir la famille ou les amis … ». Avec La Viande, 1 idée par jour, redonnons sa juste place à la viande dans les repas !
Sécuriser l’approvisionnement en eau est une préoccupation séculaire des hommes, en particulier dans le grand Sud-Ouest. Pour les besoins toujours croissants des villes et de l’activité humaine (industrie, agriculture et plus récemment les loisirs et l’étiage des rivières) nos régions n’ont cessé d’aménager des ouvrages hydrauliques (canal du midi, réservoirs hydro-électriques en montagne, système « Neste » en Gascogne,…).
Février 2015
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